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Park Funding and Reporting Manager

African Parks Network
Full time
Apply by 26 September 2024

Job description

African Parks

Titre du rôle : Responsable du financement et des rapports du parc

Relève de : Gestionnaire du parc


Role Title : Park Funding and Reporting Manager 

Reports to: Park Manager

Lieu de travail / Role Location : 

  1. Chinko Conservation Area - Kocho, Central African Republic 
  2. Garamba National Park - Nagero, Democratic Republic of Congo (DRC) 
  3. Odzala-Kokoua National Park - Mbomo, Republic of Congo 
  4. Zakouma National Park - Chad
  5. W National Park - Benin 

Nous recrutons actuellement pour des postes dans toutes les localités mentionnées ci-dessus . Nous vous encourageons à préciser dans votre candidature la région de votre choix, qui correspond à votre expertise et à votre expérience.Veuillez vous référer aux pages (2-5) pour plus d'informations en français

We are currently recruiting for positions across all the above locations. We encourage you to specify your preferred geographies that align with your expertise and experience in your application. Kindly refer to pages (6-9) for information in English

À propos de African Parks:

African Parks a été fondée en 2000 pour apporter une solution purement africaine à la conservation de la biodiversité en Afrique, dans l’intérêt des populations et de la faune. Nous assumons la responsabilité de la gestion à long terme de parcs nationaux et de zones protégées en partenariat avec des gouvernements et des communautés locales. Notre objectif est de restaurer et de gérer efficacement ces territoires en les rendant écologiquement, socialement et financièrement durables, pour leur permettre de générer à perpétuité de multiples avantages en faveur des populations et des espèces sauvages. D'ici la fin de l'année 2022, African Parks gérait 22 parcs dans 12 pays, couvrant plus de 20 millions d'hectares (77 220 miles carrés) en Angola, au Bénin, en République Centrafricaine, au Tchad, en République Démocratique du Congo, au Malawi, au Mozambique, en République du Congo, au Soudan du Sud, au Rwanda, en Zambie et au Zimbabwe. Cela couvre 11 des 13 biomes écologiques du continent africain. Il s’agit du plus grand portefeuille de zones protégées géré par une seule ONG sur le continent, y compris Odzala-Kokoua, la deuxième plus grande forêt tropicale du monde après l'Amazonie ; l'archipel de Bazaruto, un site du patrimoine mondial et parc marin qui abrite la dernière population viable de dugongs d'Afrique ; et le Parc national W au Bénin, qui abrite les dernières populations restantes du pays de plus de 4 000 éléphants et 14 000 buffles, ainsi que le lion d'Afrique de l'Ouest, une espèce en danger critique d'extinction.

African Parks a été le pionnier du modèle de « partenariat public-privé » (PPP) en matière de gestion des zones protégées. Dans ce cadre, nous assumons l’entière responsabilité de toutes les fonctions gestionnaires des parcs et rendons compte à 100 % aux gouvernements, lesquels en demeurent les propriétaires et les décideurs politiques. Pour ce faire, nous concluons des accords renouvelables à long terme d’une durée moyenne de 20 ans (mandats), mettons en place des solutions de financement et instaurons une bonne gestion et une gouvernance claire, par la création d’entités juridiques distinctes par parc ou par pays qui disposent chacune de leur propre conseil d’administration représentant les principales parties prenantes. Une fois ces trois éléments en place, nous mettons en œuvre les trois piliers étayés par la gestion et les infrastructures, conçus pour restaurer et protéger les zones sauvages au profit des populations et des espèces sauvages tout en assurant la durabilité à long terme sur les plans écologique, sociopolitique et financier.

African Parks a connu une croissance extraordinaire au cours des dernières années et compte actuellement 5 400 employés, dont 98 % sont locaux, ainsi qu'une présence en tant que fondation, bureau ou association caritative aux États-Unis, aux Pays-Bas, en Allemagne, en Suisse, à Hong Kong, et au Royaume-Uni. AP espère augmenter son impact en réalisant sa vision selon laquelle 30 % des écosystèmes africains et de la biodiversité unique qu'ils contiennent sont sécurisés et valorisés à perpétuité. Pour en savoir plus sur l’impact d'African Parks en chiffres, veuillez visiter cette page..

Contexte du poste:

Les opérations d'African Parks sont financées principalement par de grands donateurs privés (Les particuliers fortunés), de donateurs institutionnels (par exemple, l'Union Européenne, le gouvernement des États-Unis et le gouvernement allemand) ainsi que l’appui des fondations, d'organisations de conservation, et de plus en plus par des partenariats avec des entreprises. L'organisation entretient des relations solides avec ses principaux donateurs, dont plusieurs soutiennent pendant longtemps l’organisation. La collecte de fonds est réalisée par des responsables de compte à travers le monde, avec des équipes aux États-Unis, en Europe, en Asie et en Afrique, soutenues par une équipe centrale de Proposition, Reporting d'Impact et Analyse (PIRATE), qui facilite la communication et les échanges entre les responsables de collecte de fonds en contact direct, les fonctions de soutien du siège et les équipes des parcs.

Le gestionnaire du financement et des rapports (FRM) est un poste clé au sein de l'Unité de Gestion des Parcs et joue un rôle de pont essentiel entre l'équipe du parc et l'équipe de collecte de fonds. Relevant du Gestionnaire du Parc et travaillant en étroite collaboration avec l'équipe PIRATE, le FRM est le point focal pour toutes les questions liées à la collecte de fonds au niveau du parc. Ce rôle nécessite un leadership fort, une excellence analytique et des capacités de gestion de projet, car il doit naviguer entre la stratégie à long terme du parc, les réalités financières et opérationnelles et les intérêts, règlements et exigences de reporting des donateurs.

Principales responsabilités:

Le FRM est responsable de la gestion efficace, ponctuelle et conforme du portefeuille de subventions du parc. Cela nécessite une collaboration très étroite avec le gestionnaire du parc, le gestionnaire financier et les différents chefs de départements (par exemple, la conservation de la biodiversité et le développement communautaire) pour s'assurer que les activités sont réalisées conformément aux subventions contractées, garantir l'affectation correcte des fonds, et que toute modification des dépenses ou des activités est communiquée et alignée avec les responsables de comptes de l'équipe de collecte de fonds, en informant les équipes des besoins de financement du parc, de l’octroi des subventions et des principales mises à jour opérationnelles. Le FRM est chargé de veiller à ce que les plans d'affaires du parc soient alignés sur le portefeuille de subventions et vice-versa.

Le FRM est responsable de fournir à l'équipe de collecte de fonds des informations précises et en temps opportun pour les rapports réguliers aux donateurs. Cela inclut le suivi des progrès par rapport à la stratégie de durabilité à long terme du parc et aux indicateurs d'impact associés, des dépenses par rapport au plan d'affaires du parc et aux objectifs spécifiques des subventions, ainsi que des mises à jour sur les développements clés dans le parc. Cela comprend également la déclaration d'incidents régulière, ainsi que le suivi conformément aux directives d'AP.

Le FRM est la personne-ressource clé pour l'équipe de collecte de fonds pour comprendre les besoins de financement du parc et développer des propositions de haute qualité pour combler le déficit de financement du parc par le biais de fonds affectés pluriannuels ainsi que de financements no affectés tant auprès de bailleurs publics, que de donateurs privés. Le FRM est également le chef de projet clé pour le développement de projets visant à monétiser les solutions basées sur la nature (par exemple, les crédits carbone ou les unités de nature). En collaboration avec le Gestionnaire du Parc, le FRM travaille en étroite collaboration avec les responsables de comptes de l'équipe de collecte de fonds afin de s'aligner sur les stratégies d'engagement des donateurs, que ce soit lors de visites de donateurs dans les parcs ou avec des délégations locales/régionales et des ambassades de bailleurs publics.

Qualifications, compétences et expérience requises pour le poste 

  • 5+ ans d'expérience dans un rôle de gestion de projet et en collaboration étroite avec des bailleurs de fonds philanthropiques et institutionnels (comme l'Union Européenne, GIZ, USAID et de grandes fondations privées) dans le domaine de la conservation et/ou du développement durable en Afrique. 
  • Une expérience avérée de la gestion de subventions et le soutien à la collecte de fonds, y compris la budgétisation des programmes et la planification financière, l'application de cadres de suivi et d'évaluation et la coordination des contributions de différents départements. 
  • Solides compétences en rédaction et en communication avec la capacité de synthétiser diverses activités complexes en rapports simples et convaincants pour les donateurs.
  • Compétence professionnelle complète en anglais et en français (écrit et parlé). 
  • Bonnes compétences en leadership, sensible aux différences culturelles et solides compétences en renforcement des capacités, capable de motiver les gens malgré les contextes souvent difficiles liés au travail dans des endroits reculés en Afrique. 
  • Solide gestionnaire de projet, organisé et capable de gérer plusieurs projets complexes en parallèle, assurant que les équipes fournissent des contributions en temps opportun et de manière précise. 
  • Une passion pour la conservation et le développement communautaire et enthousiasme à l'idée de vivre dans un parc en Afrique centrale.

Ce poste est un poste basé sur le terrain avec une rotation de 6 semaines dans le parc suivie de 3 semaines de congé à domicile.

Informations sur les parcs :

  1. Le Parc National de Garamba (RDC) Garamba est l'un des plus anciens parcs nationaux d'Afrique, et fait partie de la liste du patrimoine mondial de l'UNESCO. Le parc a tourné définitivement la page sombre de leur histoire marquée de conflits armés, de braconnage intensif d'ivoire et de guerres civiles, pour offrir des opportunités à l'Est de la RDC. Géré conjointement avec les domaines de chasse avec des communautés résidentes, Garamba est un pilier pour la conservation de la biodiversité, ainsi que pour la sécurité et les moyens de subsistance de plus de 350 000 personnes. En plus de la stabilité régionale améliorée, les communautés bénéficient des investissements dans l'énergie solaire, l'agriculture durable, l'éducation et la santé.
  2. L’Aire de Conservation de Chinko (RCA) La mosaïque d’écosystèmes de l’Aire de Conservation de Chinko (ACC) à une telle latitude sur le continent rend cette région incroyablement riche: elle reste l'une des seules régions au monde qui abrite à la fois des espèces de savane et de forêt tropicale, et recèle ainsi des niveaux de biodiversité extrêmement élevés, indispensable pour la faune menacée. L’ACC abrite également des pasteurs transhumants et des communautés sédentaires, qui dépendent des ressources naturelles pour le bien-être de leurs familles et de leur bétail. Grâce à la planification participative de l'utilisation des terres, l’aire a défini des zones et des corridors qui favorisent la coexistence entre les différents groupes communautaires et la faune.
  3. Le Parc National d'Odzala-Kokoua (Congo) - En République du Congo, AP (via la Fondation Odzala-Kokoua-Lossi) gère le Parc National d'Odzala-Kokoua, l'un des plus anciens parcs nationaux d'Afrique. En 2010, le gouvernement du Congo et APN ont signé un accord de partenariat public-privé (PPP) de 25 ans, renouvelé en 2020, pour soutenir la gestion durable du parc national d’Odzala-Kokoua (PNOK) et du sanctuaire des gorilles de Lossi (SGL). Créé en 2001, le Parc national d’Odzala-Kokoua (PNOK) s’étend sur une superficie de 1.354 600 hectares, le deuxième massif forestier du monde derrière l'Amazonie. Il comprend plus de 100 clairières, abrite de nombreuses espèces protégées et fournit des moyens de subsistance aux 12 000 personnes vivant dans son voisinage immédiat. Les populations autochtones qui dépendent de la forêt tropicale pour leur subsistance font partie intégrante de la communauté autour d'Odzala-Kokoua.
  4. Le Parc National de Zakouma (Tchad) - Le Parc National de Zakouma est géré par AP, en partenariat avec le Gouvernement du Tchad, depuis 2010. Le parc a connu une recrudescence du nombre d'animaux sauvages et une amélioration de la sécurité au profit des communautés. Faisant partie de l'Écosystème du Grand Zakouma, qui inclut le Parc National de Siniaka-Minia (PNSM) et la Réserve de Faune du Bahr Salamat (RFBS), ainsi que des corridors fauniques adjacents, Zakouma abrite des pasteurs transhumants et des communautés sédentaires. La revitalisation de cette région dépend de la gestion continue du paysage partagé au profit des populations et de la faune.
  5. Le Parc National du W - Les 12 866 km2 du PNW font partie, avec le Parc national de la Pendjari, du complexe W-Arly-Pendjari (WAP), paysage transfrontalier constituant le plus vaste écosystème sauvage intact d’Afrique de l’Ouest. Classée au Patrimoine mondial de l’Unesco, cette région isolée a souffert pendant des années d’une mauvaise gestion, d’un manque criant de ressources financières et d’un extrémisme militant persistant, source d’une profonde instabilité. En 2020, conscient de la valeur du travail accompli par African Parks au Parc national de la Pendjari, le gouvernement béninois, en collaboration avec la Fondation des savanes d’Afrique de l’Ouest (FSOA), a conclu avec notre organisation un accord de gestion. Depuis lors, les actions de conservation dans le PNW se sont attachées à protéger et surveiller les dernières populations d’éléphants et de buffles du pays – au nombre respectivement de 4 000 et 14 000 – ainsi que les lions d’Afrique de l’Ouest, une espèce gravement menacée d’extinction.


About African Parks: 

African Parks was founded in 2000 as an African solution to conserve Africa’s biodiversity for the benefit of people and wildlife. We take on responsibility for the long-term management of national parks and protected areas, in partnership with governments and local communities. Our goal is to restore and effectively manage these landscapes, making them ecologically, socially and financially sustainable so they can deliver a multitude of benefits for people and wildlife in perpetuity. By the close of 2022, African Parks had 22 parks under management in 12 countries over 20 million hectares (77,220 square miles) in Angola, Benin, Central African Republic, Chad, the Democratic Republic of Congo, Malawi, Mozambique, the Republic of Congo, South Sudan, Rwanda, Zambia and Zimbabwe. This covers 11 of the 13 ecological biomes on mainland Africa. This is the largest portfolio of protected areas managed by any one NGO on the continent, including Odzala-Kokoua, the second-largest rainforest in the world after the Amazon; Bazaruto Archipelago, a world heritage site and marine park that hosts the last viable population of dugongs on the eastern coast of Africa; and W National Park in Benin, home to country’s last remaining populations of over 4,000 elephants and 14,000 buffalo, as well as the critically endangered West African lion.

African Parks pioneered the “PublicPrivate Partnership” (PPP) model for protected area management. Under this model, they are fully responsible for all park management functions and 100% accountable to the governments who remain the owners and policy-makers of the landscapes. This is achieved through long-term renewable agreements that are on average 20 years (mandates), putting in place funding solutions and establishing good management and clear governance by creating separate legal entities per park or country, each with their own board representing key stakeholders. Once these three elements are in place, we implement the three pillars supported and underpinned by management and infrastructure designed to restore and protect wild areas for the benefit of people and wildlife, while achieving long-term sustainability ecologically, socio-politically and financially.

AP has experienced extraordinary growth over the past several years and currently has a staff of 5,400, 98% local, and foundation, office, and charity presence in the US, Netherlands, Germany, Switzerland, Hong Kong, and the UK. AP hopes to augment its impact as it delivers on its vision that 30% of Africa's ecosystems and the unique biodiversity they contain, are secured and valued in perpetuity. To learn more about African Parks’ impact in figures, please visit this page.

Role context:

African Parks operations are funded primarily from major private donors (high-net-worth individuals), institutional donors (i.e., European Union, US Government and German Government) as well as foundations, conservation organizations, and increasingly from corporate partnerships. The organization maintains strong relationships with its key donors. Many of them are long-term supporters of African Parks. Fundraising is conducted by account managers across the world with teams in the US, Europe, Asia and Africa and supported by a central Proposal, Impact Reporting and Analysis Team (PIRATE) that facilitates communication and exchanges between front-facing fundraising account managers, head office support functions and park teams.

The funding and reporting manager (FRM) is a key position within the Park Management Unit and plays a critical bridge between the park team and the fundraising team. Reporting to the Park Manager and working closely with the PIRATE team, the FRM is the focal point for all fundraising related matters at the park level. This role requires strong leadership, analytical excellence and project management capabilities as it has to navigate between the park’s long-term strategy, financial and operational realities and funder’s interests, regulations and reporting requirements.

Key functions and responsibilities:

The FRM is accountable for effective, timely and compliant delivery of the park’s grant portfolio. This requires very close collaboration with the park manager, the finance manager and the different heads of departments (e.g., biodiversity conservation and community development) to make sure activities are conducted in line with contracted grants, funding allocated to the right activities, and that any changes to spending or activities is communicated and aligned with account managers in the fundraising team. The FRM is responsible for ensuring that park’s business plans are aligned with the grant portfolio and vice-versa. 

The FRM is responsible for providing the fundraising team with accurate and timely input for regular donor reporting. This includes tracking of progress against the park’s long-term sustainability strategy and associated impact metrics, spending against the park’s business plan and specific grant objectives as well as updates on key developments in the park. It also includes timely and regular incident reporting and follow-up in line with AP’s guidelines. 

The FRM is the key resource person for the fundraising team to understand the park’s funding needs and develop high quality proposals to close the park’s funding gap through multi-year restricted as well as unrestricted funding both with public funders or private donors. The FRM is also the key project manager for the development of projects to monetize nature-based solutions (i.e., carbon credits or nature units). Together with the Park Manager, the FRM works closely with the account managers in the fundraising team in order to align on donor engagement strategies, either during donor visits to parks or with local / regional delegations and embassies of public funders. 

Competencies, qualifications, and experience needed for the role: 

  • 5+ years of experience working in a project management role and in close collaboration with philanthropic and institutional funders (i.e., European Union, GIZ, USAID and large private foundations) in the field of conservation and/or sustainable development in Africa. 
  • Proven track record in grants management and fundraising support, including program budgeting and financial planning, application of monitoring and evaluation frameworks and coordinating input from across different departments. 
  • Strong writing and communication skills with the ability to synthesize various complex activities into simple and compelling reports for funders. 
  • Full professional competency of English and French language (both written and spoken)
  • Excellent leadership skills, sensitive to cultural differences and strong capacity building skills, with the ability to motivate people despite often challenging contexts that come with working in remote places in Africa.
  • Highly organized project manager with the ability to oversee and coordinate multiple complex projects simultaneously, ensuring timely and accurate team contributions.
  • A passion for conservation and community development and excited about the possibility to live in a park in central Africa. 

This position is a field based position with a 6-week rotation in the park and subsequent 3-week home leave. 

Park Information: 

  1. Garamba National Park (DRC) is one of Africa’s oldest national parks and a World Heritage Site. The park has emerged from a dark history of armed conflict, rampant ivory poaching, and civil wars, to bring opportunity to eastern DRC. Managed in conjunction with the adjacent domaines de chasse (hunting domains with resident communities), Garamba is an anchor for biodiversity conservation, and for the security and livelihoods of over 350,000 people. In addition to improved regional stability, communities are benefitting from investments in solar energy, sustainable agriculture, education, and health. 
  2. Chinko Conservation Area (CAR) is an important area for endangered wildlife, as well as a vast ecosystem with complex interactions, and is the only managed protected environment in the remote eastern part of Central African Republic (CAR). Chinko’s mosaic of ecosystems at such latitude on the African continent makes this area incredibly rich and unique in biodiversity. The landscape is also home to transhumant pastoralists and settled communities, who depend on the natural resources for the well-being of their families and livestock. Through participatory land-use planning, the CCA has defined zones and corridors that support the coexistence of different community groups and wildlife. 
  3. Odzala-Kokoua National Park (Congo) - In the Republic of Congo, AP (through the Foundation Odzala-Kokoua-Lossi) manages the Odzala-Kokoua National Park, one of Africa’s oldest national parks. This park lies in the heart of the Congo Basin, the second largest rainforest in the world after the Amazon. It includes more than 100 clearings, is home to numerous protected species and provides a livelihood for the 12,000 people living in its immediate vicinity. The indigenous people (Peuples Autochtones) who depend on the rainforest for their livelihood are an integral part of the community around Odzala-Kokoua. 
  4. Zakouma National Park (Chad) has been manais home to transhumant pastoralists and settled communities. The revival of this region depends on continuing management of the shared landscape for the benefit of people and wildlife.
  5. W National Park (Benin) — WNP is part of the W-ArlyPendjari (WAP) Complex and, together with Pendjari National Park, forms 12,866 km2 of the transfrontier landscape which represents west Africa’s largest intact wild ecosystem. Recognised as a UNESCO ged by AP, in partnership with the Government of Chad, since 2010. The park has experienced a recovery in wildlife numbers and improved security for the benefit of communities. As part of the Greater Zakouma Ecosystem, which includes the Siniaka-Minia National Park (SMNP) and the Bahr Salamat Faunal Reserve (BSFR), as well as adjoining wildlife corridors, Zakouma World Heritage Site, this remote region historically suffered years of poor management, a deep lack of financial resources and ongoing militant extremism resulting in severe instability. In 2020, recognising the value of the work done by African Parks in Pendjari National Park, the Benin Government, together with the West African Savannah Foundation (FSOA), concluded a management agreement with African Parks. Since then, conservation efforts in WNP have focused on protecting and monitoring the country’s last remaining populations of over 4,000 elephants and 14,000 buffalo, as well as the critically endangered West African lion.

Comment Postuler/How to Apply

Shortlist (www.shortlist.net) est le partenaire exclusif d'African Parks pour le recrutement pour ce poste. Les candidatures seront examinées au fur et à mesure jusqu'à ce que le poste soit pourvu, bien que les candidatures précoces soient fortement encouragées. Si ce poste vous intéresse, veuillez postuler en ligne via ce lien.

Nous vous encourageons à préciser vos préférences géographiques dans votre candidature.

Shortlist (www.shortlist.net) is African Parks’ exclusive recruitment partner for this role. Applications will be considered on a rolling basis until the position is closed, though early applications are strongly encouraged. If you are interested in this position, please apply online via the link.

We encourage you to specify your preferred geographies in your application. 

About African Parks Network

African Parks is a non-profit conservation organisation that takes on the complete responsibility for the rehabilitation and long-term management of national parks in partnership with governments and local communities. They currently manage 22 national parks and protected areas in 12 countries covering over 20 million hectares in Angola, Benin, Central African Republic, Chad, the Democratic Republic of Congo, Malawi, Mozambique, the Republic of Congo, Rwanda, South Sudan Zambia and Zimbabwe.

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